Comme nous l’avions anticipé, la baisse d’activité du secteur a été creusée par l’effet récessionniste des économies mondiales. La baisse du marché publicitaire mondial est estimée entre 13% et 15% pour le premier semestre. Aidés par nos performances dans le digital ou le secteur de la santé ainsi que par nos positions dans les économies émergentes, nos chiffres du deuxième trimestre affichent une baisse bien moins marquée que le marché. Nous clôturons le premier semestre avec un taux de croissance organique négatif de -6,6% (-5,4% hors impact GM), soit une performance qui traduit bien nos gains de part de marché.